Le Dossier du Relais N°97 (Extrait): Les femmes en mouvement pour l’égalité de salaire dans les PTT (1889-1926)
La lutte pour l’égalité femme-homme a rebondi il y a une vingtaine d’années par la mise en évidence de persistance de
discriminations et a conduit à la mise en place de nouveaux dispositifs visant à les réduire, notamment en matière de carrière.
On est frappé par l’écart de salaire entre les hommes et les femmes pendant tout le 19e siècle. Cette situation a perduré très
longtemps et il a fallu de nombreuses décennies de luttes pour réduire cet écart.
Cette question est aujourd’hui encore loin d’être réglée.
Car à l’exploitation de la force de travail s’ajoute la pesanteur de la condition subalterne des femmes dans la société. En fait, même
si l’égalité est inscrite au moins dans la devise des Républiques françaises successives depuis plus de deux siècles, l’égalité femme/
homme n’est jamais allée de soi, notamment en ce qui concerne le salaire.
Elle a nécessité des luttes importantes et persévérantes pour y arriver. Mais qu’en a-t-il été de cette question pour les PTT ?
Lire l'intégralité du dossier dans le numéro 97 du Relais.
Le Dossier du Relais N°94 (Extrait): Au cœur de la bataille des Retraites, LE SERVICE ACTIF
A l’heure où le Président de la République annonce son intention de reculer l’âge du départ en retraite à 65 ans, il peut être utile de rappeler quelques-uns des grands moments qui ont marqué notre histoire sociale et plus particulièrement, dans le secteur des activités postales et de télécommunications, les actions opiniâtres du personnel, de catégories et de services, afin de faire valoir leur droit à un départ en retraite avancé ou anticipé justifié par des sujétions particulières.
Cela portait un nom : le service actif. Et s’inscrivait dans le régime de retraite des fonctionnaires, le Code des Pensions Civiles et Militaires.
Quelques repères dans l’histoire de nos retraites
C’est seulement sous la Révolution que la pension des fonctionnaires est reconnue comme un droit, avec la loi du 22 août 1790, stipulant que : « l’État doit récompenser les services rendus au corps social quand leur importance et leur durée méritent ce témoignage de reconnaissance ». Cette récompense est due « à tout citoyen qui a servi, défendu, illustré, éclairé sa patrie ou qui a donné un grand exemple de dévouement à la chose publique ».
Lire l'intégralité du dossier dans le numéro 94 du Relais.
Paris Inter-Archives : une nouvelle publication de l’IHS Cgt Fapt
